lundi 4 juin 2007

Le départ façon roman à l'eau de rose


Tout commence le 1 juin 2007. Je prends le train en direction de Paris et durant le trajet je me mets à ressentir un étrange sentiment mêlé à la fois d’excitation à l’idée de découvrir un nouveau pays mais aussi de tristesse car je laisse derrière moi ma famille, mes amis, ma Vaness. Arrivé à Paris, il me faut attendre de longues heures avant d’entrer dans l’avion, un airbus A320 de la compagnie Air Comet. 18h20 ca y est j’embarque enfin direction Madrid. Le voyage se passe très bien et je n’ai même pas le temps de m’évader dans mes pensées que nous sommes déjà arrivés. Ensuite, après seulement deux petites heures d’attente nous montons dans un Boeing 747 qui va nous emmener sur l’autre continent plus précisément à Buenos Aires. Durant le trajet je fais la connaissance de Luil un brésilien et Gérardo un paraguayen. Nous discutons un peu de nos pays respectifs et ils m’expliquent que l’amérique du sud souffre de l’insécurité. Ils me disent que contrairement à la France il n’y a que deux classes sociale : les très riches et les très pauvres. De plus ils m’assurent que le gouvernement ne pense pas au nom du plus grand nombre mais qu’au contraire il tend à aggraver ces inégalités toujours en faveur des plus riches. Après de longues heures de discussion et de sommeil nous arrivons enfin, 12h plus tard, à Buenos Aires. Là nous passons la douane sans problème, notre ruse qui consistait à prendre un billet d’avion pour sortir du territoire et ainsi échapper au frais du visa, semble avoir fonctionnée. Nous voilà donc en argentine, heureux que le voyage se soit passé sans encombre. Mais c’était peut être nous réjouir trop vite car en attendant nos bagages à l’aéroport, un agent vient nous voir et nous explique que tous les bagages des personnes qui sont parties de Paris sont à Madrid. Là c’est le premier pépin que nous rencontrons. Nous nous dirigeons vers un bureau afin de voir ce que l’on peut faire et nous arrivons tant bien que mal à expliquer à l’agent que nous avons un autre avion à prendre et qu’il va falloir trouver une solution à notre problème. L’agent rempli sur son ordinateur je ne sais quoi, il tape les codes barres de nos valises et hop il nous dit que nos valises vont nous être envoyées à Bariloche puis livrée à notre domicile. Après cette déclaration et tout ce temps perdu nous fonçons vers l’autre aéroport de Buenos Aires pour embarquer à bord d’un dernier avion qui va nous mener vers notre lieu d’arrivé : Bariloche.

1 commentaire:

LoLo a dit…

bariloche c un nom de brioche ca...hihi
a part ca on sen fou de connaitre la marque de ton avion. arrête ce blog :)
je suis d'humeur petillante! bon sinon ta vu ce qu'il te reste a faire en argentina. Quitte tout et prends ta mobilette....le granma 21 et cuba sont a toi !